DHARMATA
Ecole de Yoga & d'Ayurveda
Dharmata info août 2021
Retour sur le séminaire qui a eu lieu du 10 au 17 juillet :
Cette semaine fut spéciale car nous avions à nos cotés un invité d’honneur : Swâmi Pramod Chetan Udasin, moine de la lignée de Chandra Swâmi, vivant retiré dans un petit ashram ‘God’s grâce kutir’ dans les hautes Pyrénées. Bien que d’une autre tradition que la notre, Swamiji est un ami spirituel venu pour m’assister dans le passage des examens d’instructeur Yoga. Onze élèves en formation intensive de Yoga depuis 3 ans ont, durant cette semaine, tout d’abord planché sur un contrôle écrit des connaissances, suivi d’une séance guidée de Hatha Yoga/Yoga nidra et Dharâna, montrant leurs capacités pédagogiques. Pour finir cette épreuve ils ont présenté un mémoire, fruit de ce cursus, montrant leurs connaissances et leur expérience Yogique de futur enseignant.
Ayant tous obtenus haut la main leur diplôme et le titre de professeur de Yoga, j’ai souhaité mettre en lumière dans cette info-lettre un court extrait de chaque mémoire.
Audrey Ducongé (Priyadhâra) ‘Les Gunas’
« Pendant ma première retraite Yogique, ce qui m’a frappé de plein fouet, cela a été de prendre conscience de la forme que prennent les Gunas en nous. La façon dont ils travaillent notre matière. Les Gunas sont trois tendances, énergies, qui ponctuent nos personnalités.
Ce sont trois influences distinctes sous lesquelles le mental humain doit composer, composantes aussi de toutes choses qui nous entourent (…) Je ne les voyais pas dans l’individualité de chacun, mais autour de nous, dans l’interaction durant les sevas, voir qu’on peut agir sans se connaitre en laissant croiser nos tendances ou y mettre de la résistance. L’individualité n’était plus. Comme un seul et même Être pour un même but. L’observation de ce monde subtil me sautait aux yeux et me fascinait. Aller au delà de la matière pour pénétrer ce monde subtil. Expérimenter le jeu d’échange, de croisement, d’entrechoquage des Gunas. S’en détacher pour ne plus suivre leur jeux, s’élever au dessus, les maitriser afin de les transcender. Par delà Prakriti, ne plus faire son jeu, observer et dépasser pour atteindre Purusha. Comment s’en jouer ? Contourner ? Maitriser ? Tenir le mental, observer et brandir le trident. »
Patrick Darques (Nataraja)‘Vers la danse cosmique’
"Pratiquer en conscience l’observation de ce qui est, apparait, disparait, voir qu’une réaction provient par association de quelque chose vécu par le passé, débusquer l’ego qui s’exprime dans une émotion ou qui voudrait reprendre le contrôle. Lâcher prise et de ce fait, accepter ce qui est là, un évènement imprévu, une émotion, une pensée et être dans le ‘neti, neti ‘, je ne suis pas cette émotion, cette pensée…Être Nataraja, Shiva, être Cela. Lorsque je n’ai plus conscience d’être Cela, la méditation est un précieux recours pour retrouver le calme mental et le silence. Je pratique aussi ‘Bahir kumbaka’, la rétention poumons vides. Vide, je peux m’emplir à nouveau et laisser la Présence s’épanouir (…) Plus récemment, je me questionne comme le propose Sri Ramana Maharshi ‘Qui suis-je ?’ et de questions en questions, le silence devient la seule réponse (…) Ce qui s’impose de plus en plus souvent à moi, c’est la voie de l’abandon à Dieu, Ishvara Pranidana (…) et Nataraja est mon nom. Il symbolise ma destinée. En méditant régulièrement face à lui, je me laisse doucement imprégner de son image et de sa mission : renaitre à la création pour danser à la vie et louer Brahman."
Dominique Alcaraz (Durga Devi) ‘Le Karma Yoga’
"De ma découverte du Yoga, à celle du Seva et enfin au sens profond du Karma Yoga, il s’est passé des années (une bonne dizaine). Mais en fait c’est comme si c’était une minute. Le temps n’a plus vraiment d’emprise (…) Le passé n’existe plus et surtout les regrets de ce qui aurait pu être fait plus tôt ou différemment, tout cela a disparu. Comprendre et vivre que tout ce vers quoi me portait ma nature profonde, le service au autres en s’oubliant très souvent, ce n’était pas pour moi, pour être la gentille personne que je voulais être, celle que l’on aimait, mais que tout ce que je faisais et que je fais encore aujourd’hui c’était pour servir Dieu mais quelle délivrance!!! Merci à cet enseignement (…) Que de chemin, et chaque pas, chaque Darshan de notre Maitre et des Maitres de la lignée, m’amène à comprendre que la vie spirituelle a pour but de nous amener à partager avec les autres. C’est notre ‘exemplarité’ qui va allumer chez certaines personnes un questionnement, une envie de comprendre ce que nous vivons et qui transparait dans tous nos gestes au quotidien. Pour moi c’est cela le karma Yoga : Tous les actes de la vie, tous les gestes du quotidien avec un amour inconditionnel pour tous les êtres et au travers d’eux pour Dieu."
Françoise Favino (Premsagar) ‘Yoga et Amour’
"On ne peut pas se passer d’Amour, il est intégré dans nos cœurs par le chakra Anahata. Nous sommes nés de l’Amour. Pourtant tant que nous ne l’avons pas réalisé, nous le cherchons partout désespérément (…) Il m’aura fallu 2 ans de luttes acharnées contre mon esprit et mon corps pour enfin signer l’armistice et accepter de passer chaque matin un moment de paix avec moi-même. Aujourd’hui, faire ma sadhana, c’est un moment où je me donne de l’amour. C’est un peu comme si je me prenais dans mes bras. J’entre dans ma petite salle de Yoga comme on entre dans une salle de soins. Les respirations qui accompagnent les asanas sont le Prana que je vis comme un baume apaisant qui s’insinue dans toutes les parties du corps. C’est comme un liquide qui me réconcilie avec parcelle de mon corps, avec chaque cellule de mon cœur. En ce sens, effectuer les postures c’est me connecter avec le Divin qui est moi. Les Asanas développent aussi la capacité de Présence qui permet de voir et entendre les choses comme elles sont et non comme je voudrai qu’elles soient. L’Asana ne se place de la même façon chaque jour. Parfois le corps semble plein de rouille, parfois non. Il faut accepter ce qui se présente dans l’instant présent. Faire de son mieux sans se comparer avec hier ou demain. Là encore c’est une forme d’amour."
Aline Amiel (Shantidhâra) ‘Les lokas au travers des chakras’
"Je parlerai ici des 7 couches ou des 7 niveaux de conscience que l’on appelle Loka. Ces Lokas sont présents pendant toute notre vie physique sur terre. Ces 7 plans de Conscience se trouvent partout dans le monde, ils sont la structure de l’univers et de l’homme. Ils s’échelonnent du bas de la colonne vertébrale jusqu’au sommet du crâne et sont donc intimement liés aux 7 chakras. Il y a en tout être humain une soif, une aspiration vers le bonheur, vers la compréhension de la vie, de notre être. Jésus l’exprime Lui-même lorsqu’il dit, dans l’évangile de St Jean : ‘Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à Moi et qu’il boive. Des fleuves d’eau de la vie couleront de son sein.’
C’est donc bien de nous-mêmes, du fond de nous-mêmes, que doivent jaillir l’éveil et la lumière qui sont en nous et qui attendent. C’est ce que j’ai ressenti tout au long de ma vie (…) A l’heure actuelle je ne sais pas encore jusqu’où je pourrai évoluer, mais tout ce que je sais c’est qu’il est hors de question pour moi d’interrompre cette progression (...) Je ne sais pas si dans cette vie je pourrai atteindre Tapoloka, mais au moins maintenant je sais que c ‘est ce chemin que j’ai cherché toute ma vie."
Alexandre Alcaraz (Arjuna) ‘La verticalité’
"S’intéresser à la verticalité, c’est d’abord voir la totalité, des racines à la cime, ou inversement, de la cime aux racines, tout dépendra du point de vu de l’observateur. C’est tenter de comprendre les raisons qui nous poussent à quitter la dimension horizontale, la dimension de la société. De la naissance à la mort, l’être humain reste attaché à cette dimension, pour ne pas dire qu’il est englué par les conditionnements, les mémoires. Pour la plupart le but de la vie n’est que de s’élever socialement : plus d’amis, plus d’argent, plus de biens matériels, plus de reconnaissance.
Tout cela n’est qu’illusion et quelques personnes, parmi des milliers de chercheurs, vont être ‘appelées’ et découvrir ce que recèle le plan de la verticalité (…) Cette verticalité que l’être humain a conquis en se relevant, en s’arrachant à la matière pour atteindre le ciel, la Conscience. Cette volonté de se redresser pour atteindre son humanité et au-delà retrouver sa divinité (…) La base est nécessaire à l’élévation, sans fondation solide il ne peut y avoir élévation. C’est une loi de la nature et de tout maçon (…) Dans le Yoga, on recherche la verticalité, cette verticalité physique va de paire avec la stabilité. Il est primordial de rester centré, centrage du corps, de l’esprit et de l’énergie."
Evelyne Daures (Suryatma) ‘Mon chemin vers la lumière’
"Chacun de nous possède un chemin de vie. A la naissance, nous arrivons au sein d’une famille qui elle aussi a son histoire. Tout au long de notre vie, nous allons traverser des épreuves qu’il nous faudra surmonter pour avancer. Certains passages de notre vie nous apporterons de la joie, du bonheur et nous aideront à prendre de l’assurance. D’autres nous ferons nous sentir dévalorisés, nous ferons souffrir et nous ferons perdre confiance en nous. Au fil du temps nous acquérons des outils qui nous permettent d’appréhender les évènements avec plus de sérénité.
C’est le Yoga qui m’a permis d’entreprendre un travail vers une meilleure connaissance de moi et une approche différente du monde qui m’entoure. Une meilleure connaissance de soi, permet de découvrir qui on est réellement, ce que l’on ressent, ce que l’on pense, mais surtout de pouvoir s’accepter tel que l’on est (…) Je ne suis qu’au début de ce beau chemin vers la lumière. Même si souvent je vis des moments de plénitude où je suis dans le tout, je dois garder mon objectif personnel et ne pas m’en éloigner.
Mon souhait le plus cher est que tout cet enseignement me permette d’accompagner et de soulager des personnes en difficultés qui me le demanderont. Cette courte phrase m’accompagne : ‘Aie confiance, laisse l’univers lumineux te guider’."
Nathalie Dalmayrac (Tarajyoti) ‘Sthira et Sukha ou Vivre en équilibre entre fermeté et souplesse’
"C’est durant notre première retraite de formation que j’ai fait la rencontre de Sthira et Sukha (…) Je voyais que ces deux forces existaient partout. Je pouvais m’exercer à les chercher dans n’importe quel domaine et elles étaient toujours là. C’était pour moi la preuve d’une vérité, d’une Loi du Dharma ou Loi de la nature et cette découverte me mettait dans un état d’émerveillement et de joie (…) Yoga Sutra verset II 46 : ‘Sthira Sukham Asanam’ ‘Ferme et confortable doit être la posture’ (…) Sthira est une énergie active qui demande un effort. Ainsi, on peut imaginer que la posture de Yoga et, par extension, le Yoga lui-même grâce à l’énergie active de Sthira, érige notre colonne vertébrale telle la charpente de notre véritable demeure, notre refuge intérieur (…) Sukha est une énergie passive qui ne demande pas d’effort, c’est la détente. A présent si on rajoute à la posture, ou plus largement à la pratique du Yoga, la force passive Sukha, qui est un espace confortable, sécurisant et protecteur, elle devient véritablement un édifice sacré dans lequel la joie profonde va s’épanouir ( …) Ainsi établi dans ce temple sacré que devient le corps, l’être humain accède à sa véritable nature, la Conscience d’Être et la Félicité, sur laquelle il peut fonder son existence. Quel beau programme contenu dans un seul verset et trois mots !"
Marie Claude Germane (Dyvia Skakti) ‘L’énergie universelle’
"Je suis arrivée sur cette terre avec un bagage familial ‘des siddhis (pouvoirs)’, qui se sont avérés difficiles à porter. Pendant longtemps l’utilisation des siddhis était interdite car assimilée à la sorcellerie à l’Île de le Réunion d’où je suis originaire (...) J’ai longtemps erré dans cette humanité et ce corps, qui me semblait ne pas être mien. J’ai compris avec l’âge et au fil des rencontres et l’expérience, qu’il ne fallait plus lutter contre mes siddhis et accepter mon chemin de vie (…) J’ai pris conscience qu’il existait quelque chose de grand, que cela ne se limitait pas à ce qu’on voyait, percevait ou croyait. (...) L’énergie du Guérisseur doit être forte et pure. Le chemin du Yoga permet d’atteindre cet équilibre cosmique (…) Au cours des premières séances de cet enseignement, je fus tel un torrent, une déferlante de vagues violentes.Mes cellules en ébullition, mon mental tel un marécage habité par d’innombrables entités agitées où les cinq éléments se déchainaient. Après maintes pratiques Yogique le calme apparut, j’expérimentais le vide. Je compris que j’avais trouvé le chemin qui allait me permettre de comprendre qui j’étais et d’accepter cet héritage familial."
Henriette Amorin (Padmapàda) ‘Duhkha, Souffrance’
"Dans l’Yoga Sutra Patanjali dit que c’est Avidya (l’ignorance) la racine de la souffrance et de la douleur, qu’il nomme Kleshas. Jusqu’au moment où j’ai commencé à cheminer à coté de celui qui est devenu mon Maitre, je ne me suis pas rendu compte de la teneur d’ignorance existant en moi, de mon aveuglement, de l’épaisse couche de voiles qui m’en couvrait la vue. Je ne peux pas dire que le début de ce chemin a été doux, plutôt le contraire (…) Lorsque l’ego est trop prononcé c’est comme avoir Dieu et le diable à l’intérieur de soi. Parce que nous sommes lumière, la lumière nous attire, fait miroir, mais l’ego, qu’est le diable nous freine. (…) Mon maitre m’a mis en garde en me disant que ‘quand on est plein de savoir et d’avoir, on ne peut plus rien recevoir, quand on sait, on ne peut plus rien apprendre.’ Et c’est ainsi qu’une nouvelle Sadhana m’a été donnée : ‘Abandonner mes livres pour descendre à l’école de la rue et vivre ma spiritualité chaque jour, humblement, avec l’esprit d’une débutante. Chaque jour la vie me demandera de lâcher ce que je connais et de m’adapter à chaque situation, jusqu’à devenir aussi simple et pure qu’un petit enfant. Mon nom Padmapàda (les pieds du lotus) me montre le chemin. Mon Gourou me tend la main, comme l’a fait Adi Shankaracharya avec Padmapàda, lors de sa traversée du Gange."
Sophie Bernardo (Chinmayi) ‘Le retour à la Foi par le chemin initiatique du Yoga’
"Ai-je assez de Foi pour rester paisible, quelque soit les évènements extérieurs ? Lorsque je me juge, je pense que Dieu me juge, ou encore mon Guru. Pourtant je sais que Dieu est amour et lumière et mon maitre est là pour que mes parts d’ombres se remplissent de lumière. Alors qui juge ? Si ce n’est mon ego. Or, pour que cet ego cesse d’exister sur un trône au pouvoir despotique et que je m’élève vers davantage de sagesse, l’assise dans la méditation et la libération du Prana dans les Asanas sont de merveilleux outils (…) Le fait de se poser dans une assise quotidiennement et de méditer nous permet de nous ouvrir à quelque chose de plus grand que le moi, le Soi (…) L’abandon à Dieu est simple et pourtant difficile pour moi. C’est encore un conditionnement qui dit : ‘Tu ne dois compter que sur toi-même’ et qui renforce l’ego (…) La vie est un théatre et tous les rôles ne servent qu’à servir Dieu. Lorsque nous vivons cela, la Joie fait partie de nous et tout se vit avec légèreté. Lorsque je me rappelle cela, le poids que j’ajoute parfois sur mon dos inutilement, disparait. La vie devient plus simple et plus légère. Il suffit juste de vivre le cœur ouvert dans l’acceptation de ce qui est."
« Pour être un bon enseignant de Yoga, il faut avoir été élève, non durant une durée déterminée, mais indéterminée, car il est essentiel de demeurer élève ou mieux de devenir disciple et de le rester toute sa vie.
Le yoga est à la fois une tradition qui se perpétue et une pratique vécue en permanent devenir, un chemin vers la liberté qui ne se trace qu’en cheminant, pas à pas en suivant le cheminement de son Maitre qui lui suit le chemin de ses prédécesseurs.»
Swâmi Dharmapriyananda Saraswati
Zoom sur les événements à venir
« Journée Yoga/Satsang le samedi 18 sept à Bize dans les Htes Pyrénées» Swami Dharmapriyananda ainsi que quelques uns de ses disciples seront les invités de Swâmi Pramod Chetan, dans son Ashram God’s Grace Kutir
-Formation en Ayurveda pour les professeurs de Yoga - Oct 2021/Déc 2022
Cette formation permettra :
-D’acquérir des bases théoriques en Ayurveda, adaptées aux professeurs de Yoga. - D’intégrer et d’expérimenter les principes de cette approche holistique et préventive de santé.
- D’approfondir personnellement tous les outils du Yoga avec l’approche Ayurvédique.
Ces outils comprennent : Asana, Pranayama, Shatkarma, Mudra, Mantra, Yoga Nidra, techniques de Pratyahara, Dharana
- De transmettre le style de vie Ayurvédique et Yogique (Dynacharia).
- De prodiguer des séances individuelles comprenant une consultation Ayurvédique de base : détermination de la Prakriti et la Vikriti (constitution/déséquilibres), de pratiquer un Yoga adaptée et thérapeutique, ainsi que de prodiguer des conseils en matière d’hygiène de vie, d’alimentation.
Pour recevoir le programme complet : dharmapriyananda@laposte.net
Retraite Yogique d’automne du 23 au 30 oct, à la Clappe ; Digne les bains Programme à venir (info-lettre de septembre)
Hébergement et nourriture : environ 200e (selon le nb de participants) réservation : 70e à l’ordre e Dharmata, à envoyer à Aline Amiel (Shantidhâra), 393 chemin des Rascas, Terre A, 06700 St Laurent du Var
Enseignement : don en Conscience
L’évangile de St Jean à la lumière du Yoga » Retraite d’hiver à l’ancien carmel de Moissac, du 26 au 30 décembre.
Pour la plupart d’entre nous les évangiles restent difficiles à comprendre et à mettre en pratique. Eclairés de l’expérience et de la vision Yogique, ils permettent d’intégrer profondément la Voie de l’Abandon, celle qui est le chemin, la vérité, la vie, c’est vivre dans la clarté et l’Amour, illuminant toutes les dimensions de notre Être.
Tarif hébergement et nourriture: Environ 170e (Variable selon le nb de participants)
Réservation : 50e à l’ordre de Dharmata, à envoyer rapidement à Dharmata, 15 hameau de Thouels, 12430 Lestrade et Thouels
Enseignement : don en Conscience